Feria

Séville, belle et diverse

La Tour d'Abd el Aziz passe inaperçue sur l'Avenida de la Constitución (avenue de la Constitution), car elle a été absorbée par l'urbanisme du centre de Séville. Il s'agit d'un morceau de la muraille historique almohade de Séville qui résiste au cœur de la ville.

Le Corral del Conde (cour, parc du comte), ainsi dénommé parce qu'il appartenait au comte-duc d'Olivares est un bâtiment très représentatif de l'architecture sévillane populaire, probablement le plus intéressant et le plus complet de tous ceux qui existaient et qui ont en grande partie disparu.

Origine des murailles.  La section de la muraille islamique entre l’arc de la Macarena et la Porte de Cordoue correspond à l’agrandissement ordonné par le deuxième sultan almoravide Yusuf ibn Tasufin (1107-1143), selon Ibn Idari. Cette structure sera achevée dans la seconde moitié du XIIe siècle avec des rénovations et des reconstructions effectuées par les Almohades.

La Porte de la Macarena (de l'arabe Bab–al-Makrin), également connue sous le nom d'Arc de la Macarena, est avec le Postigo del Aceite (Guichet de l'Huile) et la Puerta de Córdoba (Porte de Cordoue), l'une des trois seules entrées des murailles de Séville qui sont encore aujourd'hui conservées.

Localisé à Séville, l'Arco del Postigo del Aceite (le Guichet ou Porte de l'Huile) est l'unique guichet conservé des trois existants dans l'ancienne muraille arabe. Son origine remonte à l'an 1107, à l'époque de Ben Yusuf, bien qu'il fut rénové au XVIe siècle par Benvenuto Tortello.

Il s'agit d'un ancien ermitage chrétien qui, à l'origine, pourrait être une mosquée arabe dont le mihrab serait conservé.  Des travaux de restauration y ont été effectués, après qu'il ait cessé de servir d'entrepôt pénitentiaire.  

Elle est située entre les communes d’Écija et de Herrera. Sa situation dominante par rapport au territoire environnant a entraîné la formation d’un noyau urbain important à proximité sous la période de l’Espagne musulmane qui a survécu jusqu’à la Reconquête.