Vitraux de la cathédrale de Séville

1832

Vidriera rosetón situada encima de la puerta de la asunción, representando a los 4 evangelistas en la catedral de sevilla

Gran vidriera de la natividad, cristo atado a la columna, sepulcros de dos cardenales: manuel tarancón y bueno monreal, varios cuadros y una reja

Les vitraux de la cathédrale de Séville constituent l'un des ensembles les plus riches, homogènes et les mieux conservés des cathédrales espagnoles. Les cent trente-huit vitraux conservés sont également une excellente manière de découvrir l'histoire de cette technique dans la péninsule ibérique, du XVe au XXe siècle.

La forme des fenêtres et l'iconographie de leurs surfaces vitrées répondent à différentes commandes réalisées et aux différentes étapes de construction de l'édifice.

Les vitraux les plus anciens, de style gothique et au nombre de dix-sept, ferment les ouvertures situées sur les chapelles latérales et la nef principale ouest et sont l'œuvre de l'Alsacien Enrique Alemán, qui a également travaillé dans la cathédrale de Tolède et son intervention à Séville est datée de 1478 à 1483.

Une fois la construction gothique achevée, la cathédrale a commandé les vitraux du maître-autel, du transept et des nefs est, aussi bien les vitraux situés au-dessus des chapelles et que ceux des entrées, et la plupart de ceux qui ferment les ouvertures des chapelles situées tout autour de l'édifice.

Les maîtres vitriers de la Renaissance ont travaillé sans relâche jusqu'à la troisième décennie du XVIe siècle, date à laquelle ils ont pratiquement achevé le plan général, cent ans après son commencement.

Aux XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, d'autres artistes ont réalisé d'intéressants vitraux, qui témoignent de leur évolution au cours de la période baroque et néoclassique.

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