Cascadas del Hueznar

Séville te fais tomber amoureux

Le bâtiment qui abrite le siège du rectorat et des facultés de Philologie, Géographie et d'Histoire est l'un des plus majestueux de l'université espagnole, et constitue l'une des plus belles représentations de l'architecture industrielle de l'ancien régime. Cet édifice construit en pierre au XVIIIe siècle était le siège de la première fabrique de tabacs établie en Europe. 

Le temple primitif fut vraisemblablement construit vers le milieu du XIVe siècle, répondant à l'esthétique mudéjar prédominante des églises sévillanes de cette époque. Le passage du temps et les dommages causés par le tremblement de terre de Lisbonne de 1755 ont conduit à sa démolition et à sa reconstruction, qui a été achevée en octobre 1841.

Le bâtiment baroque du XVIIe siècle, dont la construction fut ordonnée par Álvaro de Castilla, en 1614, comme couvent et hôpital, auquel l’église est rattachée.

L’histoire de La Carlina est très rocambolesque : autrefois une simple ferme ou maison de campagne entourée de vignes aux alentours de Constantina, elle fut radicalement transformée au début des années 1950.

Le centre de la vallée de la Osa, à côté de la rivière de la Villa qui coule à l’abri des yeux des passants, a été construit plus récemment, entre les XVe et XVIIIe siècles. Cette zone est constituée de rues plus larges, adaptées à la zone plate, et qui montrent le pouvoir économique des propriétaires terriens, des commerçants et des industriels de l’époque.

Dans l'architecture civile, l'ancienne caserne et le presbytère, tous deux du XVIIIe siècle, se distinguent.

Ses étages correspondent à la structure typique d'une maison de l'époque autour d'une cour centrale, à deux étages. L'étage supérieur possède une galerie qui sert à la répartition des salles.

Il est situé sur ce qui était autrefois connu sous le nom de Porte d'Écija, entre la plaza de Cervantes et la calle Alfonso XII. Son origine remonte à 1796, comme on peut le lire sur l’inscription supérieure : « Sous le règne de Charles IV et Marie-Louise de Bourbon. An MDCCXCVI ».