Feria

Séville, belle et diverse

En 1731, un groupe de jeunes passaient leur temps à chanter le rosaire dans les rues « plus pour s’amuser puérilement que pour des raisons de dévotion ». D’autres personnes se joignirent à eux et c’est ainsi qu’ils créèrent la confrérie de los Servitas, qui est à l’origine de la construction de l’église de Nuestra Señora de los Dolores.

Il s'agit d'une église gothique-mudéjar similaire à de nombreux temples construits à l'intérieur de l'enceinte fortifiée de la ville au XIVe siècle, et elle fait partie des églises de ce type qui ont été le plus rénovées et agrandies au cours des siècles suivants, notamment entre le XVIe et le XIXe siècle.

L'église de San Nicolás de Bari faisait partie des églises paroissiales fondées après la reconquête par Ferdinand III de Castille en 1248. Ce temple gothique-mudéjar à l'origine, a été reconstruit comme édifice baroque au XVIIIe siècle.

Le couvent de Santa Isabel a été fondé en 1490 par Doña Isabel de León et il a été le siège de l'Ordre de Saint-Jean.

L'origine de cet Ordre remonte au XIe siècle, avec la fondation de l'Ordre de Malte, lorsque les religieuses aidaient les pèlerins et les malades dans les hôpitaux.

Cette merveilleuse chapelle du Tiers-Ordre franciscain, adjacente à l'église de San Pedro de Alcántara, est située dans la rue Cervantes de Séville.

C’était à l'origine l'église du couvent des Mínimos de San Francisco de Paula, devenue aujourd'hui l'église paroissiale Nuestra Señora de la Victoria. 

La construction de l'église du couvent de San Agustín, fondée par le quatrième comte d'Ureña, a commencé à la fin du XVIe siècle et s'est poursuivie au siècle suivant. Le retable principal, où est installée Notre-Dame de l’Espérance de Remesal, est l'œuvre de Jerónimo Balbás. À noter également la présence d'une Vierge enceinte.