Cascadas del Hueznar

Séville te fais tomber amoureux

L'église, située en dehors de l’ancien quartier historique fortifié de la ville, fut conçu à l'origine, au XVe siècle, comme une chapelle dédiée à l'archange saint Michel.

Elle possède un noyau mudéjar qui a subi d'importantes rénovations ultérieures, notamment au XVIIIe siècle avec l’ajout des chapelles latérales du chœur.

Ce bâtiment a subi plusieurs réparations durant la première moitié du XVIIIe siècle, qui se sont avérées insuffisantes ; au milieu du même siècle, la chapelle a été démolie pour procéder à sa reconstruction, ce qui a fait disparaître les traces des interventions précédentes.

Ancienne église de la Compagnie de Jésus à Osuna, datant du XVIIe siècle. Lorsque les jésuites sont partis, le couvent a été abandonné et l'église a été dépouillée de ses œuvres les plus intéressantes, son retable principal se trouvant dans la paroisse d’El Saucejo.

L'église possède trois vaisseaux séparés par des arcs en plein cintre sur piliers. La nef centrale est couverte par une voûte en berceau, avec des voûtes d'arête dans les collatéraux. Bien qu'il s'agisse principalement d'un bâtiment du XIXe siècle de style néoclassique, certaines parties de l'église datent d'époques antérieures.

Buste dédié à ce torero de Manrique.
C'est un buste dédié à ce torero de Manrique, sur lequel on peut lire « Au célèbre torero Pascual Márquez 1914-1941, son peuple reconnaissant. Villamanrique. 1983 ». Ce monument se trouve dans la rue qui porte son nom et où le torero de Manrique est né.

Église du couvent de la Concepción

Construite entre les XVIe et XVIIe siècles, l'église appartient au couvent du même nom, fondé par la bienheureuse Beatriz de Silva pour les conceptionnistes franciscains. 

Le monument, situé sur la place du même nom, est l’œuvre du sculpteur Collaut Valera. Il s’agit d’une sculpture en bronze représentant le matador honoré dans une posture fière et victorieuse après avoir terminé la faena, tandis que le taureau git au sol avec ses membres suspendus et mortellement blessé. L’œuvre est un reflet fidèle de Joselito après la conclusion du troisième tiers.